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Vous avez été kické du canal #editotaku - raison invoquée : DESU DESU DESU

14 novembre 2009

Une matinée chez Lego

Anecdote : à Noël dernier, j'ai hésité entre une Xbox 360 et un Lego Mindstorms. Puis Axel Terizaki a menacé de m'envoyer des soubrettes tueuses si la moindre brique en plastique se trouverait sous le sapin. Authentique ! 

En même temps, ce ne serait pas la première fois qu'on me verrait en train de jouer avec des Lego.


J'explique rapidement pour ceux qui ne connaissent pas : la gamme Mindstorms est le fantasme de quelques ingénieurs fous, genre Lego Technic sous acides. Au lieu du pupitre de programmation d'antan, on se retrouve (pour 300€) avec un petit terminal connecté à quelques moteurs et des capteurs de son, de lumière, de contact, voire de gravité ou de transpondeurs RFID. La seconde génération de ce bousin embarque un processeur ARM7 et une connectique USB2 et Bluetooth, rien que ça : on peut programmer avec le soft fourni, ou y envoyer du code en à peu près n'importe quel langage, surtout que le système est open source.

Après avoir contacté Lego pour me renseigner un peu sur cette gamme, j'ai reçu une invitation pour leur journée presse. Forcément, j'y suis allé avec une liste typique de questions-que-je-me-suis-toujours-posé sur les briques en plastique, vu que j'ai grandi entre les trains Lego, le pupitre de programmation (prémice des Mindstorms) et la cultissime voiture Technic avec boite à 4 vitesses, suspension intégrale, phares escamotables, moteur V8, suspension à courroie fonctionnelle et j'en passe

Et le pire, c'est que j'ai toujours toutes ces merveilles.

Une grosse partie de la showroom de Lego France est évidemment consacrée aux classiques : la ville, les pirates, les voitures. Ca tape pour 40% de leur chiffres d'affaires rien qu'avec Lego City, ses casernes de pompiers, ses maisonnettes et ses agriculteurs. Du bonhomme Lego à tous les étages, du jouet unisexe pour geeks en devenir. J'ai été assez surpris quand ils m'ont dit que sur le baromètre des marques pour enfants, Lego est cinquième, derrière un Playmobil en troisième ; en même temps, cette dernière marque a davantage de produits axés filles. D'ailleurs, pourquoi il n'y a pas de maisons de poupées pour demoiselles chez Lego ? Réponse du tac au tac : on a essayé il y a quelques années avec la gamme Belville, mais ça s'est largement planté en France (à présent réduite à quelques accessoires pas très briqués, genre set de table ou éponge de bain), alors que ça cartonne en Europe Centrale. Pour l'année 2008-2009, les fillettes qui doutent de leur sexualité devront se contenter d'une boîte de briques roses.

Par ailleurs, les gens de Lego étaient vraiment adorables avec l'otaque de service que je suis. Le défilé de journalistes de cette journée était massivement composé de presse généraliste ou pour enfants, entre Femme Actuelle et Astrapi, et les attachées sortaient leur litanie millimétrée sur la gamme Star Wars et les Duplo. Et c'étaient les mêmes employés qui répondaient à toutes mes questions sur les modèles épuisés, les vidéos virales (oui, ils ont vu 8-bit Trip et se tiennent au courant des agissements des fans) et autres demandes de sponsorings étranges qu'ils reçoivent. Par exemple, ils se font un point d'honneur de refuser tout partenariat avec l'agroalimentaire, pour ne pas être assimilé à de la malbouffe et pour ne pas refaire des bonbons Lego, échec épique s'il y en a. Oh, et leur licence Ferrari expire bientôt, donc si vous avez besoin de briques rouges, dépêchez-vous - par contre, Lamborghini reste.

Et pour anticiper les questions sur les vieux modèles : lego.com contient une base de données avec les manuels d'instruction en PDF de toutes les boites sorties depuis 2002, et ils éditent un catalogue contenant toutes les boites sorties depuis 1950. Si vous cherchez les manuels d'un vieux modèle de votre enfance, de nombreux sites ont scanné les notices et listé le contenu de chaque boite afin que vous puissiez commander les pièces manquantes sur la boutique en ligne. A moins de vouloir le carton, pas besoin de se ruiner sur eBay... Il est possible de commander n'importe quelle brique à l'unité, et il y a même un logiciel Windows et Mac pour tester la faisabilité de son idée avant d'en commander les pièces - voire d'imprimer la boite de son propre modèle. Sérieusement.

Ceci dit, on sent bien un changement de mentalité chez Lego par rapport à quand-on-était-petits : il y a tout simplement moins de choses à construire pour chaque modèle, diablement simplifié face à ce que nous avons connu. Les bases de soldats, anciennement composées de grandes saynètes dignes d'un opéra, se réduisent maintenant à une tour et une petite prison ; le principe "en pièce de théâtre" est recyclé pour faire l'école de Poudlard pour Lego Harry Potter ou le Royaume du Crâne de Cristal pour Lego Indiana Jones. Ces gammes cinématographiques, très limitées dans le temps, ont un certain succès qui entraine des produits dérivés (les jeux vidéo Lego), alors qu'elles sont elles-mêmes dérivées... Et personnellement, j'ai du mal à digérer les Lego Batman sortis à l'occasion de Dark Knight, film bien noir et vraiment pas pour les enfants attirés par Lego. Ce changement de mentalité, donc, va dans le sens de "construire son jouet", tant les ingénieurs de la marque semblent davantage réfléchir à la jouabilité du produit terminé plutôt qu'au plaisir de construction. C'est d'une évidence absolue dans certaines gammes comme les Bionicle, où chaque figurine comprend carrément un compteur de points de vie et des règles de jeu similaires à ce qu'on trouve sur les figurines HeroClix, alors que la figurine la plus complexe se construit en moins d'une demi-heure. Du coup, on se surprend à examiner les photos sur les boites pour observer le nombre de pièces ou les éléments "en un seul morceau", comme les coques de navires.

Autre grosse modification sur la vénérée gamme Technic : les plots sur le haut des briques sont en voie de disparition ! Les briques trouées qui faisaient Technic sont remplacées par des barres, pas toujours percées et dépourvues de bosses. On se retrouve avec des looks très lisses et pas du tout Lego. Pourquoi concurrencer l'apparence d'un Meccano mort et enterré ? Le robot Mindstorms, taillé dans le même plastique, ne donne même pas l'impression d'être en provenance du Danemark. Finalement, une bonne partie de l'esprit Technic tel que je le concevais (plein de modèles avec un minimum de pièces, utiliser les briques de manière originale, faire des modèles sortant de l'éternelle mécanique automobile) se retrouve dans une gamme nommée Creator, qui utilise les briques "classiques" et où chaque boite contient des instructions pour trois modèles différents. Il y a même une boite qui permet de pondre un dragon occidental, oriental ou un ogre, le tout avec des briques lumineuses !

Et enfin, le gros mindfuck qui arrive au début de l'année prochaine : les jeux de société Lego. J'ai raté la présentation, alors excusez le visuel extrait du dossier de presse. Il va y avoir une dizaine de boites, mais le concept reste le même : des règles originales (pas de Monopoly Lego ou de Puissance 4, quoi), le plateau de jeu à construire et la customisation. Par exemple, avec ce labyrinthe du Minotaure, une fois construit, on commence sa partie, et on peut remettre le plateau dans la boite en carton pour continuer plus tard, vu que les pièces Lego sont embriquées. Libre aux joueurs de changer le labyrinthe pour varier les parties ou d'inventer de nouvelles règles. Même le dé est une brique Lego modifiable ! 

Au final, je suis reparti comme chaque journaliste invité, avec un calendrier de l'Avent sous le bras. Ils m'ont également prêté le seul exemplaire presse du Mindstorm photographié en haut de ce texte, ramené du Danemark rien que pour mes yeux. Lors de la dernière Japan Expo, Kohaque m'a offert une boite Technic (neuve !) vintage de 1997, et Senna m'a offert une Creator toute récente et arachnophobique. La rechute était prévisible, et j'ai craqué pour une Forteresse des Trolls. Hélas, un des bonshommes avait une main cassée ! Je contacte le support technique Lego, qui annonce m'envoyer une pièce de rechange sous trois semaines, sans justifier d'une preuve d'achat ou quoi que ce soit. Cinq jours plus tard, elle arrive dans mon courrier, accompagnée d'une lettre d'excuses. Franchement, entre les jeux vidéo, la japanime et un semblant de vie réelle, avais-je besoin de retomber dans les briques en plastique ?

 

Pendant ce temps : ce week-end, à Nancy, c'est Anim'Est, "comme Epitanime mais à l'Est de Paris". Je ne pourrai pas y être, mais il y aura des copains et un espace hentai avec des cosplays licencieux, des projections qui vont bien et des animations du même tonneau. Vraiment.

Grand Tournoi des Seifuku : maintenant que les éliminatoires sont terminés, les matchs ont commencé. L'uniforme de Nogizaka Haruka No Himitsu, assez conservateur, peu de fioritures (nonobstant des boutons pour une robe s'ouvrant comme une chemise), s'oppose à la couture assez originale et pleine de petits détails de Bible Black (jupe couverte d'une salopette, choix distingué de coloris contrasté noir-blanc sur robe rouge). Le second match : la première saison de Nanoha avec une grande robe blanche enfantine face aux coloris pastel (peu commun) surligné de lignes claires, seul détail distinctif d'une coupe somme toute classique de Happiness. Dans les deux matchs, nous avons indéniablement une ligne classique/original, alors que je pensais que cette démarcation aurait disparu pendant les éliminatoires. Le résultat de ces premiers "combats" permettra-t-il de se faire une idée sur le look, déjà vu ou innovant, du futur vainqueur ?

22 octobre 2009

Autosatisfaction participative

Récemment, Mimu, un des deux plus gros sites d'actu sur la J-Music en France, a annoncé sa fermeture prochaine. J'écris "un des deux plus gros", puisque l'autre est JaME. En même temps, on s'en fout, vu que la J-Music, c'est quand même beaucoup de caca et de repompe peu inspirée de ce qu'on entend dans le reste du monde. Si j'en parle, c'est parce que la majorité des réactions face à la fermeture de ce mastodonte était : qui va prendre cette place ?

Pas besoin d'avoir un doctorat en sociologie pour remarquer que tout projet ou groupe de personnes pense rarement à la passation de pouvoirs, tout occupé qu'il est à l'entretenir ou à en profiter. Un homme politique pense davantage à sa réélection bien à lui plutôt qu'à savoir qui le remplacera quand il sera aux fraises, un informaticien a trop la tête dans son code pour rédiger la doc, et les clubs/associations/conventions d'otakus locales disparaissent avec la seconde ou troisième génération de membres. 

Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai toujours été bon pour "introduire" les gens à quelque chose. A initier quelqu'un à un jeu ou une passion, à faire naitre la première étincelle, quoi. Celles et ceux à qui j'ai appris à jouer à Dance Dance Revolution ou à qui j'ai prêté des VHS d'animes sont par la suite devenus bien meilleurs otakus que moi - par contre, pour le perfectionnement, ne venez pas me demander conseil. Ainsi, j'ai toujours fait en sorte de pouvoir aider quiconque me demandait conseil pour commencer son petit coin de web, fussent-ils français ou pas. Avec le peu d'influence dont je dispose, j'ai soutenu Blogchan dès sa création, toujours fait en sorte de mettre des liens vers les nouveaux blogs francophones, et rencontré d'innombrables auteurs et lecteurs passionnants, que ce soit via le Quartier Libre ou en vrai... Car au delà du clavier, quand je conchie un magazine et que je tombe sur son rédacteur en chef qui pourrait très bien m'en coller une, je vais à sa rencontre pour lui poser quelques questions. Et alors qu'il n'y avait pas d'évènements de japanime dans mon bled il y a à peine quelques années, on a à présent de quoi s'occuper - surtout quand on m'invite à les présenter ou à en juger les cosplays. Bref, même s'il n'y a rien, je sors mon arrosoir pour que ça pousse. 

Et mine de rien, ça pousse bien. Dixit la vieille page expliquant pourquoi j'avais commencé ce site à l'hiver 2000, l'Internet français n'était pas peuplé en bonne prose otakiste, correctement écrite et marrante à lire. Et à présent, le niveau est si élevé que l'on en retrouve des morceaux dans des magazines en papier. Et pas seulement à notre insu ; j'ai bien écrit bien dans le hors-série Rétrogaming de Joypad qu'on trouve toujours dans les kiosques, soit dit en passant.

Il y a quelques années, quand on me conseillait une lecture sur le web, c'était systématiquement en anglais. A présent, non seulement on a de quoi feuilleter au gré des billets d'humeur de chacun, des efforts de traduction ou d'évènements locaux... mais on a également une communauté assez bétonnée et efficace. Venez voir les haruhistes à Japan Expo, tenir les nocturnes de karaoke avec les thalistes à Epitanime et violer des gamers avec les editotaku, vous serez toujours bien accueilli. Je ne suis pas responsable de tout cela, mais vous avez été nombreux à dire que j'y suis pour quelque chose. Maintenant qu'il y a assez de blogueurs qui font leur évangélisme sur le web et en vrai, maintenant qu'il y a assez de fans "légitimes" qui soutiennent une industrie qui leur porte assez de crédit pour les écouter ou les embaucher, j'ai quand même l'impression que je peux me reposer un peu. La génération suivante est assurée, et elle fait un bien meilleur boulot que moi.

 

Je ne m'en vais pas pour autant, car j'ai encore pas mal de choses à faire - ne serait-ce qu'honorer le Quartier Libre qui a duré plus longtemps que prévu. Des piles de Mini-DV avec des rencontres aussi variées que Yoshitaka Amano ou une actrice japonaise de films porno, des briques Lego et d'autres stupidités du même acabit. Il y a toujours la session IRC du dimanche soir (mais c'est bien animé toute la semaine), je traine sur le XboxLive, teste Twitter en y mettant des conneries, et vous pourrez me rencontrer (avec la peluche, bien sûr) la semaine prochaine dans les allées de la Chibi Japan Expo et du Micromania Game Show

Et surtout, merci à vous pour votre fidélité depuis toutes ces années, et merci d'être aussi actifs dans votre passion.

02 septembre 2009

Pensez à nos yeux, chers rédacteurs!

Par Sonocle Ujedex

The Grim Reaper Stands Below, Waiting To Catch You.


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ThatGuyWithTheGlasses.com: the best website I have ever seen in my life! 2/2

Re-hacké Sonocle Ujedex avec de nouveaux et glorieux liens depuis le 3 septembre à 01:16.

(merci a Diaghilev pour s'être fait chier comme un rat mort a corriger les fautes)

 J'aime bien lire l'Editotaku et je suis content d'écrire à Soviet Voice. C'est donc parce que j'apprécie ces deux sites que j'ai décidé de les faire chier en même temps en postant chaque moitié de mon nouvel article chez chacun d'entre eux. Parce que vos histoires de Forrest Gump et de cygne prépubère, non seulement ça fait faire à mes testicules "untan! untan!", mais ça me provoque une douleur à l'épaule,  me donne envie de frapper un puce avec un marteau, de casser mon clavier, de demander à un rabbin de m'apprendre l'amour et de chanter le dictionnaire.

J'ai l'étrange impression d'avoir déjà fait ces choses des milliers de fois...le temps me semble si long depuis...depuis quand?

Enjoy quand même! :)

_________________

(1ere partie dispo sur Soviet Voice)


Je disais quoi, moi? Ah, oui!

Ouf! On a peu près fait le tour des réalisations de That Guy With The Glasses. Et quand je mentionne ce nom, je parle de la personne, pas du site. Car souvenez-vous qu'il y bien d'autres contributeurs pour ce portail web, tous fédérés par Channel Awesome. Ne craignez rien, je ne serais pas aussi long qu'avec Doug. Ils sont trop nombreux (une vingtaine) et ont été moins productifs que leur parrain, mais ils ont beaucoup de choses à nous montrer. Voici une liste presque complète des contribuables de TGWTG.com et un résumé sur eux et leurs productions.

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01 septembre 2009

OSS 117 - Des films qu'on aimerait bien qu'ils nous enfantent

par Amo, posteur millénaire de trucs avec du Remasterisation par Georges Lucas dedans.


Avant tout début de lecture, matez moi le meilleur opening de tous les temps, Rn faite, il y en a pas car la vidéo est partie faire la grève... ou s'acheter des saucisses

Des balises peuvent vous agresser durant cet article...

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test html5

par Maxobiwan, avec l'aide technique et complémentaire de Keul

Je ne donne pas de titres aux photos, cela grillerez ma couverture !
Ces derniers temps, Mozilla a annoncé une grosse révolution avec l'arrivé de Firefox 3.5 avec sa gestion de l'HTML5. Mais qu'est-ce que ça a de spécial ? Outre que les petits changements de syntaxe pour déclarer des trucs complétement incompréhensibles pour le commun des mortels, l'HTML5 apporte pas mal de nouvelles balises. Parmi ces balises, on va s'intéresser à la plus intéressante : la balise <video>. Pour regarder une vidéo en streaming, il fallait obligatoirement passer par du flash avec toutes les contraintes qui vont avec comme par exemple l'impossibilité de passer directement au milieu de la vidéo (et avec ma connexion, je ne suis pas allé plus loin que "Ne vous inquiétez pas madame, je viens de l'internet")... Avec l'HTML-5 (wow ça fait presque aussi cool que internet-deux-point-zéro), on peut lire nativement les vidéos sur les bons navigateurs, mais il faut que la video soit du format ogv theora.

Oh
Donc en exclusivité pour raton-laveur.net, voici la toute première vidéo utilisant la balise vidéo.

BLAAAAH §§

Afficher cliquez ici pour la suite, attention c'est, comme on dit dans le jargon, plutôt nsfmMasquer cliquez ici pour la suite, attention c'est, comme on dit dans le jargon, plutôt nsfm



J'espère que vous n'attendiez pas quelque chose de subtil et intellectuel.

La meilleur publicité au monde ! Quoi de mieux pour la première vidéo libre sur raton-laveur.net S'il y a des spécialistes en JAV, j'aimerai bien connaître le nom de cette modèle ^^. Et pour ceux qui ne parlent pas le wapownais, la fille dit un truc à la fin du genre "Tu n'as rien écouté du tout, prends ton putain de téléphone, crétin !!" Crétin à prononcer ecchi -> H comme la boisson. Si vous voulez la boisson des pervers c'est ici. Sinon Arez a trouvé il y a quelques mois une autre boisson dans le même genre (enfin je parle de cible destiné), Tentacle Grape : Most delicious hentai soda.
Vous avez lu Tentacle Rape ? c'est normal ! allez prendre un bain pour vous laver ces idées.

Maillot4.jpg
Bon arrêtons avec le H et voyons les autres trucs cool de l'HTML5 :

Par exemple on peut ajouter la gestion des ombres sous toutes ses formes, utiliser un max de polices de caractères.

Là Keul s'est amusé à créer un bouton arrondi jaune avec les ombres et comme vous pourrez le voir, il n'y a pas d'image utilisé. Si vous voyez des jolies jeunes filles en cher en dessous allez voir sur cette page pour les comparatifs. Mai Otome bien résumé ma foi



Alors il paraît que quelqu'un n'a pas fait ses devoirs ?
Qu'est-ce que ça peut faire une sale gueule une célébrité.
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Cash-on!

Par Corsaire

Données réajustées par YUKI N.

Je ne vais pas vous présenter en long et en large la série K-on signée Kyoto Animation débordante de Moe, d'autant que les avis divergent (mon regard se tourne vers Arez et AxelT).

Je vais m'attarder plutôt sur un aspect matériel des choses car ce point m'a fait quelque peu tiquer, je veux parler du matériel présenté et utilisé et surtout du coût.

Je m'intéresserai surtout aux grattes, les deux marques bien représentées ne sont pas des inconnues, il ne s'agit pas moins que de Fender et Gibson, considérés comme les deux inventeurs historiques de la guitare électrique.

Pour les prix, j'indiquerai ce que je vais trouver sur des sites marchands ayant pignon sur rue sur le net aux USA et en Europe, on trouvera parfois des différences surprenantes.

Mio : Fender American Standard Jazz Bass Guitar (3-Color Sunburst, lefty)

Particularité, la demoiselle est gauchère, ce qui est une vraie malédiction pour un guitariste car il vous faut trouver un modèle "inversé" et ce n'est pas vendu partout.
Prix environ 1499 $ - 1384 €


Yui : Gibson Les Paul Classic (Heritage Cherry Sunburst), mais au vu du prix de vente indiqué dans l'anime je penche plutôt pour une Les Paul Standard
Prix environ 3899 $ - 2899 € (Les Paul Classic)  ou 1799 $ - 1860€ (Les Paul Standard)

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Où l'on sauve le capitalisme à l'aide d'un Magnum 44

Un talentueux game-designer que vous présente Arez.

C'est étrange, j'ai l'impression que quelqu'un m'espionne. J'ai aussi une impression de déja vu a la con... mouais.

Il y a à peu près 6 mois si mes calculs sont corrects, raton-laveur vous avait parlé dans cette colonne du cas de Robert Pelloni, ce jeune PASSIONé de Sony qui a décidé de faire son jeu tout seul comme un grand pour PSP, et qui devant le silence radio de sa compagnie monolithique préférée était progressivement devenu de plus en plus dingue. Si la perte progressive de sa santé mentale ne s'est finalement révélé être qu'une farce dont le but était de se faire mousser -Et on sait comment ça à fini, du coup je me demande si ce premier paragraphe est vraiment indispensable-, le problème qu'elle dénonce reste : Aujourd'hui, il y a tout un tas de game-designers de génie qui n'ont pas de place pour s'exprimer. Vous me direz "Et les jeux indépendants alors ? N'est-ce pas là la preuve qu'aujourd'hui avec de bonnes idées et un peu de talent n'importe qui peut avoir du succès ?". Hélas, trois fois hélas (Hélas. Bam voilà j'ai fait les trois.) la réalité n'est pas aussi rose, et le terme d'"indépendant" est aujourd'hui employé plus pour du marketing que pour véritablement désigner des jeux qui auraient été fait hors du circuit traditionnel des éditeurs. En vérité je vous le dis, il est bien difficile aujourd'hui de faire son jeu, de le sortir et de gagner de l'argent. Et tout cela est pas glop pas glop.

Tenez, prenez Elliot McGucken. Ce type a des idées formidables, et pas un éditeur pour s'y intéresser. Pourtant en janvier de cette année, est breveté un "Système et une méthode pour créer des jeux vidéos exaltants et des réalités virtuelles ou les idées ont des conséquences" de son invention. L'idée est tout simplement géniale, et la façon dont il l'applique fait preuve de tout autant d'intelligence.  Regardez plutôt ce schéma tiré de son brevet, qui vaudra toujours mieux qu'une tentative désespérée d'expliquer des idées aussi révolutionnaires avec pour seule arme des mots pas très habiles :

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Pink Lady !

Ici Tokyo-3, Gemini (c'est moi) parle aux Otak'. Pour la seconde fois dans le Quartier Libre. (Libre de passer du NSFW)

Pour ce Quartier Libre d'été, j'aurais pu vous parler de ma vie, qui est passionnante. J'aurais aussi pu vous parler de la Nouvelle Vague, ou de mon super projet top secret qui ne verra peut-être jamais le jour. Sauf que non, j'ai décidé de consacrer ce billet aux "Pink Lady". 

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