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26 juillet 2009

Barococo

Par Aer.

Le Baroque est surtout connu comme étant un courant artistique. Datant du XVI-XVII siècle en Europe, principalement en Italie, le Baroque c'est étendu aux pays environnants de manières brusque, suivant en cela son paradigme. Ce style place en avant la surenchère, la folie furieuse, les arcs et courbures tout azimut, tout ce qui peut élever le support primaire d'une œuvre (peinture, sculpture, littérature, musique) de manière exponentielle. Il suit en cela le mouvement Gothique mis en place sur l'architecture, surtout celle des cathédrales européennes.

Baroque, pourtant, est aussi un jeux vidéo, Donjon-RPG de son état. Tout d'abord sortit sur Saturn en 1998, n'ayant hélas jamais quitté les contrées nippones, il a acquit avec le temps son statut de jeu culte et dérangé. Développé par Sting pour les deux moutures, une boite assez peu prolixe mais offrant souvent des RPG particuliers (Yggdra Union, Knight In The Nightmare), ce jeu c'est vu réédité récemment sur Playstation 2 et Wii (offrant par la même un jeu décent pour la console de Nintendo).

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25 juillet 2009

Impr écran Syst + Supreme Commander = ?

Par Smog ShadowSeth.

Parce qu'il n'y a pas qu'a TF2 qu'on peut faire des captures d'écran débiles, voici une petite sélection qui résume les quelques mois depuis lesquels les [Edito] jouent à Supreme Commander, sous l'impulsion du voisin (et logeur, accessoirement) Axel.

Question: mais comment peut-on faire les cons dans un jeu pareil? Maxobiwan a trouvé un moyen de le faire lorsqu'a l'occasion d'une partie, il avait été remarqué que j'avais donné un nom à un sous-commandeur que j'avais détaché pour prendre possession de l'ex-base d'un boulet qui s'était fait pèter trop tôt. Le secret de la commande Ctrl+N fut ainsi transmit, et depuis que Max s'en sert pour renommer des unités avec des noms à la con, on arrête pas de faire mumuse avec...

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Tant de haine pour Sonic

Par Maxobiwan.

Sonic the hedgehog (ou sonic next gen) est un mauvais jeu. C'est ce qu'on dit un peu partout sur le net. En tant que fan de Sonic, j'ignore toujours les mêmes excuses de "la press", la plus récurrente : la caméra. Ce problème est commun à tous les Sonic 3D et ce n'est pas ça qui m'a empêché de m'éclater à Sonic Adventure 2 Battles. Finalement j'ose sauter le pas en m'achetant le jeu tout en sachant qu'il est bourré de défauts, mais ça ne m'a pas découragé.

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24 juillet 2009

Ces petits jeux qui n’ont l’air de rien…

Par Smog ShadowSeth.

Les joueurs ne se limitent pas à une population ayant les moyens d’investir dans des composants PC a très cher ou une console au même niveau de prix ; depuis la démocratisation de l’Internet, avec un grand I pour faire snob, des tonnes de petits jeux ont commencé à apparaître sur la toile, offrant qui des remix de jeux anciens (qui n’a jamais refait un Tetris dans une fenêtre en Flash ?), qui des adaptation de hits PC ou consoles jouable dans un simple navigateur…
Et puis, au milieu de la tonne de sites de jeux gratuits qu’on peut trouver sur le net de nos jours, on trouve une catégorie un peu à part, qui nous propose autre chose que des parties ponctuelles durant tout au plus cinq minutes. Si je vous dit Ogame, vous voyez de quoi je parle, pour peu que vous ayez roulé votre bosse sur le net ces dernières années ?

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Les secrets de l'Editotaku

Par cyberpenpen

Attention, document à manier avec précaution, veuillez éviter une trop longue exposition pour vos yeux, risques de rupture d'anévrisme, ne pas avaler ni jouer au Scrabble avec.

Ne laisser ni à la portée, ni à la vue des enfants.

23 juillet 2009

DemiFail?

Par Smog ShadowSeth.

Août 2008. Gas Powered Games, la boite de développement qui a pondu Supreme Commander dont je n’ai eu cesse de vous abreuver de détails durant les précédents quartiers libres, commence, entre deux promesse de sortie d’un ultime patch pour Forged Alliance (patch toujours pas sortit à ce jour, coincé au QA chez l’éditeur, THQ, à en croire les devs larmoyants…) à sortir l’artillerie lourde pour leur prochain jeu, j’ai nommé DemiGod.

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Monsieur le pot de Nutella

Par le Vengeur Slippé. qui, pour sa première apparition dans le Quartier Libre, vous offre un article avec plein d'images pour pwner royalement les connections de roumain.



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There will be blood

 Par Mdt

Bon nombre d’entre vous s’est sûrement usé les yeux adolescents à peindre de petites figurines hors de prix vendues par Games Workshop. La célèbre entreprise de racket anglaise a, très tôt, noué des liens avec le monde de l’informatique, certains se souviennent peut-être du très bon Warhammer : dans l’ombre du rat cornu, avec cependant plus ou moins de bonheur. Parmi la pléthore de jeux de plateau produits par l’atelier des jeux, Bloodbowl est l’une des réussites majeures, rendant presque étonnant son adaptation aussi tardive sur PC. Il aura fallut qu’un développeur français, Cyanide, plagie honteusement ses principes dans le correct Chaos League, que Games Workshop l’attaque en justice et que les deux belligérants se réconcilient autour d’un projet sous licence officielle pour voir l’adaptation enfin réalisée.

Bloodbowl est un jeu de, grosso modo, football américain dans l’univers medfan de Warhammer. Le foot américain a l’immense avantage de se prêter parfaitement au genre plateau : des phases de jeu clairement identifiées, des joueurs avec un rôle spécifique. De quoi se fondre dans un tour par tour et des classes de personnage. Au-delà des règles de jeu efficaces, BB se démarque par un univers délirant, violent et imprévisible, faisant de chaque partie un moment homérique parsemé de jets de dés stressant et d’actions héroïques. Ce jeu, c’est de l’or en barre. L’adaptation de Cyanide propose un mode temps réel que l’amateur ne testera même pas, mais surtout un mode tradi, réalisant un vieux fantasme, celui de s’affranchir des milliards de jets de dé et d’inviter un pote pour jouer. Désormais, le vieux joueur va au bout de sa non vie, et peut défier des gens qu’il ne connait pas sans les rencontrer, derrière son écran. On y perd les tranches de rigolade communes, les menaces, bluffs, mauvaise foi et argumentations sur d’obscurs points de règle, mais on y gagne en rapidité, accessibilité et représentation.

Comme j’en ai un peu marre d’humilier une IA très moyenne, voici donc un petit guide de jeu si le noob que vous êtes est tenté par l’aventure. Si la compréhension des règles était nécessaire pour boucler un match sur plateau, la version électronique a ce désavantage de les laisser en tâche de fond. Pas évident donc de se lancer dans une partie de BB avec la maigre notice. Notez toutefois que les règles officielles sont disponibles sur le site de Games Workshop.

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22 juillet 2009

La Rule #36 expliquée à mes enfants imaginaires

[Ce post vous est offert par Concombre, vous savez, le mec qui collectionne les épithètes élogieux (masochiste, troll, langue de pute, bel enfulé) ça ne s'invente pas]

Pour continuer dans cette lancée, j'aurais pu déclarer mon amour aux personnages de Soul Eater, vous prouver par A+B que les troisièmes Opening/Endings sont toujours les meilleurs, ou démonter K-On comme toute personne un peu cartésienne. C'est mon premier quartier libre, mon post sera un peu "portes ouvertes" et spécial, mais comme nous sommes des gens spéciaux, tout devrait aller très bien.

Vous l'avez peut être remarqué, on distingue les animes un peu recherchés et planqués du fin des sites de stnemegrahcélét tcerid (vous passerez la bande à l'envers) des animes bourrins qu'on a tous vu devant un bol de Miel Pops : la finalité du scénario. Dans la première catégorie, tout est limpide, intimiste et précis, dans les autres l'histoire, ou plus précisément le « but » du héros est indéfinissable au possible. Au mieux on peut dire que le personnage principal veut devenir « le meilleur de. »

Le meilleur dresseur, le meilleur ninja, la meilleure arme, bref un objectif bien flou prétexte à d'autres intrigues secondaires qui égaient joyeusement le truc.

Dans les jeux vidéos, on retrouve ce syndrome sous d'autres formes. Rappelez vous les vieux jeux Megadrive et consorts sans sauvegarde... l'objectif n'étant jamais réellement de terminer le jeu, mais plutôt d'aller un peu plus loin que la dernière fois sans se planter. La panne d'électricité ou le Game Over étant synonyme de nombreuses heures perdues, l'enjeu grossissait et la tension devenait un peu plus palpable quand on atteignait les derniers niveaux (sans bien sûr savoir quand le jeu allait se terminer)

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Grand Ages Rome

Par Smog ShadowSeth

L’Égypte antique, c’est cool. La Grèce de la même période, pareil. Et idem pour les Romains. Ce qui fait que ces civilisations sont surreprésentées dans les jeux de gestion où l’on vous propose de bâtir votre petit empire, ou dans les city-builder qui veulent un peu sortir des sentiers battus en mettant une touche « historique » à leur jeu, qui leur sert plus à sortir des mécanismes de jeux « originaux » qu’autre chose.

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