Animal Crossing Wild World a donc réduit ma vie une servitude sans fin, remplaçant avantageusement Nintendogs dans la catégorie du jeu à baby-sitter en l'allumant un peu tous les jours. Simulateur de vie sociale, qu'ils disent. Que tout y est rose et heureux, qu'ils disent. Où je joue si mal que je trouve le moyen de me prendre un râteau, que je dis.



Enfin, quand ses habitants ne vous envoient pas du courrier à peu près aussi cohérent qu'un spam nigérien.



Quelle ironie que tout ceci.



Et pourtant, il joue.